Rencontre avec Jean-Claude Sandrier

A l'occasion de la présentation de son ouvrage, il a remis au Président du MUREDE, Jacky Laplume, un chèque de 1000 euros. Cette somme correspond aux droits d'auteur qu'il cède à notre association.
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André Chicaud

Lors de son internement (à Saint-Sulpice-la-Pointe), il fait la connaissance du peintre Boris Taslitzky qui fait son portrait. Chicaud connaît ensuite l'enfer de Buchenwald où il arrive le 30 juillet 1944.  Transféré au kommando de Weferlingen, il travaille dans les mines de potasse. Il est libéré le 12 avril 1945. Après 52 mois de détention, il pèse 34 kilos.
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François Mathieu

L’entretien du 17 novembre 1982 entre François Mathieu (1898-1993) et Jean Bidault est particulièrement intéressant. Il aborde plusieurs sujets : l’état d’esprit des ouvriers montluçonnais dans l’entre-deux guerres, les conditions de vie des déportés dans les camps nazis, les marches de la mort, le rapatriement et les difficultés du retour à une vie normale.
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Dans la nuit, la liberté …. un livre de Jean-Claude Sandrier

Jean-Claude Sandrier a toujours été partagé entre Bourbonnais et Berry.  Il est né, en août 1945, dans l’Allier, à Gannat, la ville où son père a fait la connaissance de sa mère, Marthe, lors de ses activités de résistant, mais c'est dans le Cher qu’il a fait sa vie politique.
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Jeanne Desseigne

Jeanne est née dans le Cher, à Vernais. Elle s’installe à Montluçon en 1939 où elle continue d’exercer son métier de couturière à domicile. En 1943, Jeanne accepte d’aider la Résistance. Elle distribue des tracts et transmet des messages pour l’organisation des MUR. Son fils est recherché par les Allemands. Le 6 mai 1944, Jeanne est arrêtée.
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Jacques André Guillien

Jacques André Guillien est né le 23 juin  1921 au Bourg d'Augy à Saint-Léopardin-d'Augy (Allier). En 1936, il entre à l'École pratique et rejoint les Jeunesses Communistes. C'est Jacques qui  fonde d'ailleurs par la suite la cellule communiste de Teillet-Argenty. Ouvrier-forgeron, il travaille à l'usine Le Réservoir de Montluçon qui produit des réservoirs de freinage pour les trains.
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Émile Perruchet

Émile Perruchet est né le 18 juin 1925, sur une péniche, au lieu-dit La Cloie (Dun-sur-Auron, Cher). En 1943, il épouse Maria Mousson à Montluçon. Ils ont un enfant. En 1944, Émile travaille à l'usine Saint-Jacques de Montluçon comme ouvrier-aiguilleur et fait partie de la Résistance. Il distribue des tracts et appartient aux FTP sous le pseudonyme de Marius.
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L’attaque de l’hôtel de l’Écu

Une action coup de poing est alors décidée par l’état-major des FFI, dirigé par Ernest Frank. L’opération réunit, sous la direction de Raymond Courteau, des maquis AS-MUR et FTP, qui reçoivent pour l’occasion un supplément d’armement.
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Irène Cordat

Irène Mouroux est née à Uzerche (Corrèze), le 29 mai 1924. Elle est en partie élevée par sa tante et son oncle, sa famille ayant parfois du mal « à joindre les deux bouts » . En mai-juin 1940, elle obtient à Limoges son diplôme de de sténodactylo et rejoint sa famille installée à Montluçon.
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Ils ont pris le maquis, un livre de Fabrice Grenard

Né en 1975, Fabrice Grenard est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, agrégé et docteur en Histoire. Spécialiste des aspects économiques et sociaux de la Seconde Guerre mondiale ainsi que des maquis, il est à la tête du service historique de la Fondation de la Résistance.